Teknival – Ravolution23 : état des lieux une semaine après Salbris

L’heure est à l’état des lieux. Cet article a pour ambition de faire le tour des informations éparses tenant au bilan du teknival du 1er mai, 23ème du nom : observer la ligne éditoriale de la presse professionnelle, prendre le pouls des participants, compiler encore plus de photos (30 en fin d’article) et de vidéos (40 en fin d’article), etc. Vous pouvez retrouver l’ensemble des photos dans l’article live de l’événement.

 

Cet article ne vise pas (comme d’habitude dans nos « état des lieux ») à déterminer si l’événement est une réussite en lui même, mais bien à réunir les informations, constatations et éléments axés autour de plusieurs grands thèmes, permettant à chacun de se faire son opinion (et à en discuter). Esprit critique et dialogue !

 

Mise à jour du 14/05/0216 + 17/05/2016 (Fin d’article)

 

Un teknival fédérateur et revendicatif

Une chose est sure. Ce 23ème frenchtek a eu le mérite de fédérer une très large majorité de la communauté. L’effet « Retour à la clandestinité » (Le Monde) ? L’aspect (encore plus) fortement revendicatif de cette édition ? Qu’importe la raison ; les faits sont là.

 

En effet, lors des précédentes éditions et plus fortement depuis la 21ème ( Teknimutation 21 ) en 2014, il avait été possible d’observer une scission assez forte entre deux idéologies chez les membres de la communauté teknoïde. D’un côté, les détracteurs du teknival légal, crachant sur un une forme de marchandage avec un gouvernement qui n’avait pourtant de cesse de réprimer les acteurs de la scène teknoïdes (saisies, pressions, etc.) et reniant les origines clandestine du mouvement. De l’autre ceux qui, favorables (où non d’ailleurs) à la « légalisation » de nos événements adorés, saluaient la tentative de dialogue et de travail avec les autorités quant aux revendications portées à chaque édition. (Nb. Rappelons que cela fait 2 ans maintenant qu’un travail de discussion entre certains acteurs et les autorités a démarré et que chaque édition du teknival depuis lors a toujours porté sont lot de revendication). Or, si le retour à l’illégalité est jugé par certain média comme le facteur d’engouement pour ce Ravolution23, l’effet aurait pu être au contraire de relancer le débat.

Et en définitif il n’en n’est rien. Les réactions sur le web (une véritable vitrine de l’opinion) sont frappantes à ce niveau : un consensus quasi général se constate autour de cette édition qui, il convient de le rappeler, en plus d’être revendicative, se présente comme un coup de gueule vis-à-vis du travail de discussion n’ayant jusqu’à aujourd’hui conduit à très peu (voir aucune) d’améliorations concrètes sur le terrain.

 

D’ailleurs, l’annonce de ce teknival, notamment par une lettre ouverte de l’association Freeform au premier ministre en début de semaine dernière a eu l’effet de faire réagir les autorités. Le cabinet de ce dernier a proposé une réunion tout juste 48 heures plus tard mettant en présence les représentants des associations Techno+ et Freeform, ainsi que plusieurs représentants de différentes instances officielles. (Cf. Compte-rendu de la réunion).

 

Lors de cette réunion, les associations ont constaté un changement de position et d’attitude à l’égard du mouvement teknoïde ; les autorités avaient toutefois souligné que l’avancée de la discussion serait largement conditionné par le bilan du teknival ayant lieu deux jours plus tard. Il semblerait que les discussions puissent à présent reprendre car les preuves d’une autogestion responsable ont été fournies comme le reconnais à demi-mots Olivier Pavy, maire de Salbris (LaNouvelleRépublique)

 

Les nuisances et…

Grands sujets qu’est le site, le lieu de l’événement. En général un sujet assez sensible tenant à la propreté, aux nuisances et à la propriété du terrain.

 

Au sujet des nuisances, il serait mentir de dire qu’un événement d’une telle ampleur n’en produit pas, tant au niveau sonore qu’au niveau de l’affluence pour les riverains et communes à proximité. Mais cela n’est en rien propre aux teknivals ! Libre aux sceptiques de demander au riverain des grands festivals musicaux français. Toutefois, il convient de relativiser, et même si à ce niveau, aucun changement radical n’est à signaler dans l’opinion, il a été possible de croiser ici et là, notamment sur les commentaires des articles de presse ou la page de la préfecture, d’agréables « certes ça fait un peut de bruit, mais ce n’est qu’un week-end, nous n’allons pas en mourir et ils ne font que s’amuser ». Signe que contrairement à ce que certains articles de presse peuvent laisser penser, les vies de tous les voisins (d’un week-end) des teknivals ne sont pas irrémédiablement chamboulées.

L’affluence est sans doute l’une des nuisances la plus compliqué à gérer pour un tel événement, voir impossible. Quand quelques heures après l’annonce du site, des milliers de personnes convergent vers le lieux de l’événement et que des kilomètres (jusqu’à 5km selon la préfecture !) de bouchon aux accès de ce dernier se forment, il est claire que cela peut avoir quelques conséquences désagréables.

 

 

 

 

D’ailleurs, il a été possible de croiser sur les réseaux sociaux, des photos de bouchon traversant les communes avoisinantes. La raison ? Il est avancé par plusieurs participants la circulation goutte-à-goutte mise en place par les force de l’ordre en début d’événement.

Quoi qu’il en soit, encore un point à relativiser car ce n’est que temporaire. De plus, il convient de rappeler que l’emplacement des sites fait justement partie des points de discussion avec les autorités car nombreux sont ceux qui appellent à la mise à disposition de lieux appartenant à l’état, non utilisés et suffisamment loin des zones habitées pour occasionner les moins de nuisances possibles.

 

De plus, le contact avec les riverains, du moins une partie d’entre-eux, ne semble pas avoir été mauvais. Papouche de Bif Crew System , un collectif du coin ayant posé lors du teknival rapporte un bon contact avec ces derniers, pour certains « content qu’ il se passe quelque chose à Salbris ». Bloody quant à lui souligne un bon week-end pour les commerçants de la commune, notamment les cafés et boulangeries qui ont vu du passage !

 

…le site

Le site en lui même était situé dans le Loire-et-Cher (41), à distance d’environ 6 kilomètres de la commune de Salbris et non loin de celle de La Ferté-Imbault . Environ 35 km² formait le site de l’événement, zone des façades et parking compris. Il a été possible d’entendre et de lire les éternels « Et l’agriculteur, il est d’accord pour qu’on saccage son champs ? ».

 

Il semble qu’il y est eu en ce point un quiproquo quant à la nature du site. En effet, comme le rapporte l’association Freeform auprès du journal Le Monde, les terrains occupés étaient des « (…) réserves de chasse, pas (des) sites agricoles, notre venue n’a donc rien perturbé ». Toutefois, la préfecture a quant à elle précisé que pensant aller sur d’ancien terrains militaires désaffectés, l’événement s’est en réalité installé sur des terrains privés.

 

 

 

 

Les propriétaires du terrain occupé par l’événement n’avaient pas porté plainte le mardi. Toutefois, deux propriétaires de terrains voisins ont porté plainte pour atteinte aux biens et le procureur s’est saisi de l’affaire. Des poursuites sont donc à redouter.

 

Une chose est indéniable ; le site a été restitué parfaitement nettoyé comme les photos de la préfecture en témoignent ! Sur ce point, les fêtards étaient attendus au tournant. Il a été possible de lire et entendre à de nombreuse reprise « Qui va nettoyer ? »… »Cela va encore être une porcherie »… Qu’il n’en déplaise aux détracteurs de l’événement, le terrain a bel et bien été rendu propre et ce grâce à l’implication des acteurs restés sur place pour y procéder jusqu’au mardi en fin d’après-midi à l’aide de deux bennes fournies par la préfecture.

 

 

 

D’ailleurs nombres de participants ont relayé leurs étonnement/approbation durant l’événement au regard de la propreté du site (nécessairement relative, festivité oblige !) pendant le week-end même et le comportement des teknivaliers. Selon Max VRT, arrivé au petit matin le samedi,  » (…) on pouvait difficilement faire mieux. Les sounds coupaient le son pour une séance nettoyage et même en général, j’ai vu beaucoup de gens faire attention avec leurs déchets. Pour ma part rare sont les soirées où j’ai vu l’endroit aussi propre, même dans de gros festivals légaux. »

 

Il est aussi possible de constater une large différence à ce niveau avec les éditions antérieures du teknival (pourtant légales !), ce qui ne peut être que féliciter, sachant que ce tekos illégal était largement placé sous le signe de l’autogestion.

 

La sécurité et les associations acteurs de l’événement

Sur le papier, les forces de l’ordre étaient déployées lourdement pour l’occasion. Toutefois les témoignages sont unanimes sur ce point : une présence policière loin d’être omniprésente sur le site. En revanche, c’est sur la route des départs que les nombreux contrôles et dépistages ont été effectués, donnant lieux à de nombreux retrait de permis et verbalisation ; plus de 150 selon certaines sources. Il y avait « (…) des contrôles à chaque rond-point, test alcoolémie et drogue pour tous le monde » en témoigne Bloody. Il convient de souligner qu’aucune saisie n’a été effectuée sur les sound systems présents ; un changement d’attitude ? L’avenir le dira.

 

Sur l’événement en lui-même, ce sont les services de secours et les associations qui ont réellement été présentes. « Les médecins faisaient des rondes même de nuit, lampes à la main pour trouver les personnes en difficulté » comme le dit Bloody . Les associations ont largement contribué à la prise en charge médicale lors de l’événement ; Une dizaine d’association étaient présente avec une petite centaine d’intervenant. Techno+ à notamment « pris en charge une petite centaine de personnes » sur le week-end (Le Monde).

<img1295|right>En terme de bilan santé, 84 personnes ont été prises en charge au poste médical instalé sur les lieux dont 17 transportées à l’hôpital, deux cas engageant un pronostique vital (LaNouvelleRépublique). L’un d’eux, un jeune homme de 17 ans a été évacué par hélicoptère le dimanche. Pris en charge au centre hospitalier de Blois « le jeune homme n’était plus en urgence vitale en fin de journée » (LeBerry.fr). Quant à la seconde, une jeune femme de 20 ans dont l’état de santé s’était également amélioré dès le début de semaine.

 

En résumé, une grosse centaine de prise en charge médicale, dont environ 20% ont nécessité une évacuation. Pour un événement ayant regroupé plusieurs dizaines de millier de personne, le bilan « santé » semble très bon.

 

Les participants et l’ambiance

Vis-à-vis du nombre de participant, nous avons assisté à une forme de bataille politique comme on a l’habitude de le voir lors des manifestations traditionnelles. Un pic de 13 500 participant annoncé par la Préfecture du Loir-et-Cher dans la nuit du 1er mai, contre un chiffre de 30 000 avancé par la majorité des acteurs de l’événement (et qui à tendance à se constater sur les photos, vidéos et témoignages).

 

Comme Freeform et Techno+ le souligne dans leurs communiqué, si lors des précédentes éditions, les chiffres avancés par les autorités étaient en règles générales ceux également retenus par les collectifs, cette fois la différence est flagrante. « Cela montre que les collectifs ont réussi leur premier pari, celui de rendre leur engagement politique (Ndlr. Un teknival revendicatif !). La préfecture a répondu politiquement ».

 

Une bonne cinquantaines de murs ont débité leurs décibels pendant ce teknival (Cf. Vidéos). « Certains petits, certains plus gros, mais tous crachant des watts (…) On a eu de tout : des mur passant du reggae, de la musettemusette/acid même ! – du hardcore, de la techno et j’en passe ! (…) » rapporte Bloody. Un éclectisme à l’image des nombreuses nationalités présentes tant au niveau des sound systems que des participants comme le rapporte Max: anglais, italiens, belges, hollandais, espagnol… tous étaient au rendez-vous.

Le comportement des participants également fait consensus. Nombreux sont ceux saluant l’attitude positive de la grande majorité, tant entre-eux qu’au niveau de l’implication dans la propreté du site et le déroulement des festivités tout au long du week-end. « Une vrai ambiance de tekos ! » d’après Papouche. « L’ensemble des acteurs, sounds, associations de prévention et participants ont joué le jeu et contribué à la réussite de ce teknival ! ». Un point noir tient aux nombreux vols déplorés.

 

Le regard de la presse… et d’autres

A ce niveau on peut souligner que pour la première fois depuis longtemps, le teknival a trouvé place ailleurs que dans les rubriques fait divers. Bien que dans le passé, quelques rares journalistes aient opéré ce choix, cette fois, Le Monde a placé sa multitude d’article portant sur l’événement dans sa rubrique culture !

 

Par ailleurs, il a été possible de croiser quelques articles à la fois complet et écrit d’un œil plutôt objectif ne mettant pas par exemple, la dépravation de ces vilains teufeurs au centre de leurs lignes éditoriales. Un changement de mentalité ? Une lassitude ? Encore une fois, l’avenir le dira.

 

D’un autre côté, il a été possible de croiser quelques articles rédigés sur le ton de l’ironie, à peine déguisée, titrés par exemple « Déambulation au milieu des « ravers » fatigués » (MagCentre) concluant par exemple en « (…) une manière de voir les choses en effet… » après l’éternel question des produits circulant sur le teknival et d’une réponse de l’interviewé faisant un parallèle tout à propos entre « pétards » prohibés et « anti-dépresseurs, psychotropes et autre Tranxene (que chaque jours de nombreuses personnes ingurgitent) ».

Et pour finir, il y a les irréductibles du scandale ! Les articles cherchant à tout pris à rallier les faits les plus sombres au teknival, comme les méchant « ravers (revenant du teknival) condamnés pour trafic de drogue » (LaNouvelleRépublique) ou pire, « un choc (…) violent et la mort du jeune homme probablement instantanée » dans un accident de la route à Theillay (Encore eux !) rattachée au teknival par la seule présence de boue sur les vêtements de la victime…

 

A côté de la presse, un petit fait amusant (car il n’y a pas d’autres mots) ! Une blog Front National et quelques représentants de ce dernier ont pris plaisir au fil du week-end à déverser nombre de paroles assez sympathiques à l’égard du teknival et de ses participants, ralliant la ligne éditoriale qui semblait avoir été abandonnée par bon nombre de journaliste en cette année 2016 et même allant encore plus loin dans l’idiotie… La relève est assurée !


Mise à jour du 14/05/2016

 

Aucune mise à jour n’était prévue, mais la parution de deux articles oblige cette dernière…

Pour commencer, La Nouvelle République (et oui encore eux !) remet le couvert ! Après deux articles largement tendancieux (ci-dessus) ayant l’objectif de rallier les faits les plus sombres au teknival, le quotidien annonce le 13 mai que « les gendarmes ont été avisés de la découverte de six cadavres de chiens. Certains pourraient avoir servi de « mules » pour acheminer de la drogue ».

 

Et non, ce n’est pas une hallucination ! Encore et toujours la même histoire, le même hoax pourrait-on dire. A chaque édition du teknival, cette légende des chiens éventrés, mutilés et autre ressurgit ! D’une part il sera bon de noter la tournure impersonnelle de l’affirmation ; qui a avisé ? Également, il serait bon de signaler que même des journalistes de la presse professionnelle – par exemple ceux de LaRep.fr – ont dénoncé cette rumeur récurrente ; « (…) ces faits n’ont jamais été avérés, loin de là (…) En 2006 déjà, Le Monde détaillait (et réfutait) cette rumeur ». Il ne resterait plus qu’à identifier la source de cette information, bien que l’article ne traitant que du point de vu des institutions locales puisse laisser songer que…

 

Un deuxième article, où plus exactement un billet de blog posté sur Mediapart (et donc en théorie n’engageant pas la ligne éditoriale de l’organe de presse) arrive près de 10 jours après la bataille ! Ce billet rédigé par une personne qui semble ne pas connaitre son sujet et surtout ne même pas avoir pris la peine de lire la presse (foisonnante) sur ce Ravolution23 s’apparente plus à un procès qu’autre chose et pire, se fonde sur des éléments complètement erronés dans le but (et si ce n’est pas volontaire, c’est d’autant plus inquiétant !) de décrédibiliser totalement les acteurs de cet événement.

 

Le billet traite dans les grandes lignes d’un « événement illégal planifié par les « teufeurs », peu responsables des conséquences d’un tel déferlement en rase campagne », alignant les chiffres ahurissants de 500 tonnes de déchets (évacuées par « 20 camions de 25 tonne » !), et qualifiant de « miracle » le fait que l’événement se soit déroulé sans encombre.

 

En commentaire, une réponse de Samuel Raymond de Freeform a été publiée. Elle vise à remettre un peu de vrai dans tout ça ; il souligne que cet article s’apparente à « ‘une discrimination très claire envers les jeunes organisateurs et participants de ce rassemblement qui avait une dimension politique et revendicative volontairement dénigrée par l’auteur. »

 

Notamment, il précise après un simple calcul, que 50 tonnes de déchets ont effectivement été évacués (et non 500 !). L’article revenait aussi sur le supposé teknivalier, mort sur la route (La Nouvelle République – ci-dessus) et sur ce point, il est rappelé à l’auteur que l’enquête est terminée et qu’elle n’a pas révélé un quelconque lien avec l’événement.

En bref, encore de belles preuves de déontologie journalistique.

 

Mise à jour du 17/05/2016

Comme il était dit plus haut, il apparaissait selon nous que La Nouvelle République avait encore cherchez à faire ses choux gras, notamment avec l’affaire des chiens éventrés…et cela se confirme !

 

L’association Freeform a pris contact avec la Gendarmerie pour obtenir plus d’information à ce sujet, et ce que nous avancions (rejetés par les plus sceptiques !) se confirme; plusieurs points lui ont été confirmés ; elle a relayé l’information dans un communiqué :

 

« 1: Des animaux morts ont bien étés retrouvés aux abords directs du teknival suite au « ratissage » organisé par les forces de l’ordre pour vérifier que personne n’était resté sur place.

 

2: Une enquête à été ouverte et les analyses vétérinaires prouvent que ces animaux étaient morts BIEN AVANT le teknival et que leur décès n’a rien a voir avec le teknival ni avec quoi comme ce soit comme trafic de drogue. »

 

Encore une belle preuve d’intox/déontologie journalistique…

 

Vidéos

 

 

Associations

Communiqué de Freeform et Techno+

Lettre ouverte de Freeform

Compte-rendu de la réunion de le 28 avril 2016 entre Freeform/Techno+ et le gouvernement

Médias alternatifs

Mouvement Libre
Je vais aller au teknival

Bass Expression
Communiqué officiel Teknival du 1er Mai 2016

Le Teknival du 1er mai 2016 est lancé à Salbris

Compilation de la presse autour du Teknival

Quelques articles

La préfecture interdit temporairement les rassemblements festifs à caractère musical (teknival, rave) dans le Cher – LeBerry.fr

Le Teknival annoncé ce week-end dans le centre de la France. Mais c’est quoi, un Teknival ? – LaRep.fr

Retour aux sources et clandestinité pour le Teknival – LeMonde.fr

Teknival du 1er mai : deux arrêtés d’interdiction pris par la préfecture du Puy-de-Dôme

Le Teknival 2016 démarre à Salbris (Loir-et-Cher) – LaRep.fr

Le Teknival 2016 se tient à Salbris en Loir-et-Cher – LaNouvelleRepublique.fr

Le Teknival du 1er mai, « revendicatif », démarre dans le Loir-et-Cher – LeParisien.fr

Teknival 2016 à Salbris : des milliers de participants rassemblés

Une heure dans l’ambiance du Teknival 2016 à Salbris

Teknival : un jeune homme en urgence vitale évacué par hélicoptère – LeBerry.fr

Le Teknival de Salbris renoue avec ses origines clandestines – LeMonde.fr

Les derniers teufeurs sont partis – LeJDC.fr

Salbris : Les derniers teufeurs ont levé le camp – LaNouvelleRépublique
Teknival à Salbris : le jour d’aprés – MagCentre

Tenival illégal de Salbris : l’heure du bilan – LeMonde.fr

Des ravers condamnés pour trafic de drogue – La Nouvelle République

Un mort à Theillay – La Nouvelle Républiquehttp://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2016/05/04/Un-mort-a-Theillay-2705043

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